LA PRISE DE PAROLE EN COMMUNICATION DE CRISE
En communication de crise, faire le choix de prendre la parole ou de se taire, c'est avant tout prendre un risque
Ne pas suffisamment communiquer auprès des salariés risque de créer des interrogations, des suspicions et éventuellement de l'inquiétude. C'est également prendre le risque de voir les salariés influencés par des informations orientées dont les intentions sont variables.
Beaucoup communiquer pour bien informer ses salariés, ses fournisseurs… sur la réalité d'une
#crise et ses conséquences, c'est éventuellement prendre le risque d'inquiéter ses clients, d'affoler les marchés financiers, d'exciter l'appétit évènementiel des médias, de les faire réagir négativement, au risque d'aggraver la situation de crise.
Ne pas communiquer du tout est une force si on peut s'y tenir. Ne pas communiquer, c'est par exemple ne pas alimenter une polémique, et nécessairement contribuer à l'apaiser au lieu de la nourrir.